viernes, 14 de diciembre de 2012
Algunos enlaces importantes
http://www.es.amnesty.org/temas/mujeres/violencia-contra-las-mujeres/
Póster de Raquel Aguilera
FOTOGRAFÍAS DE UN POSTER ELABORADO
POR LA ALUMNA DEL GRUPO 3ºB DE INGLÉS,
RAQUEL AGUILERA
(LO PODEIS VER JUNTO AL AULA 4)
martes, 27 de noviembre de 2012
Chanson pour Marie
Tu l’aimes d’amour, depuis près d’ toujours
Depuis presque toute ta vie
T’as toujours tout compris
T’as toujours su dire oui
T’es toujours restée près d’ lui
Tout comme un ange, comme un doux archange
Tu le protèges jour et nuit
T’es heureuse quand il rit
Tu partages ses ennuis
T’es sa femme et son amie
Mais, lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence
Lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence
Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil
Tu pardonnes tout, tu oublies tout
Jusqu’à croire que c’est ta faute
Tu ignores le silence, tu dévores la souffrance
Tu refoules et ferme les yeux
Tu le serres tout fort, tu le prends tout fort
Lorsqu’il te dit qu’il s’en veut
Tu veux croire à ses mots
Tu veux croire qu’il est beau
Tu veux tant le rendre heureux
Mais, lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence
Lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence
Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour, refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil
Il rentre tard respirant la mort
Les yeux rouges et orageux
Il te cherche comme un fou, mais s’écroule à genou
Lorsqu’il trouve ton mot d’adieu
Tu es déjà loin lorsqu’il serre les poings
Et qu’il se remplit de feu
Tes larmes coulent jusqu’au sol, la douleur te rend folle
Et la rage te crève les yeux
Mais plus jamais personne ne te fera la violence
Non, plus jamais personne ne te fera la violence
Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour, refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil
Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil
Cours….
Nicola Ciccone
25 novembre : Journée internationale
contre les violences à l'égard des femmes
Un site où on peut trouver des informations sur cette journée en France.
Consultez le lien suivant :
http://www.ile-de-france.gouv.fr/La-prefecture-et-vous/Particuliers/Droits-des-femmes/Journee-internationale-contre-les-violences-a-l-egard-des-femmes-du-25-novembre#2
miércoles, 21 de noviembre de 2012
CAMPAÑA
CONTRA LA VIOLENCIA DE GÉNERO
NI
UN MINUTO MÁS DE SILENCIO ANTE LA VIOLENCIA DE GÉNERO
El Centro Provincial del
Instituto Andaluz de la Mujer y la Delegación de Educación, Cultura y Deporte
han acordado llevar a cabo una respuesta conjunta contra la violencia de
género, y para ello se valdrán de la canción Se acabaron las lágrimas del
cantautor Huecco. Esta canción esta disponible en Youtube, e
invitan a escucharla y meditar sobre su contenido.
domingo, 6 de mayo de 2012
1er Seminario CULTURA DE PAZ PARA LA EDUCACIÓN
(haz click en el programa para ampilar)
El 1er Seminario Cultura de Paz es una actividad organizada por la Delegación Provincial de Educación de Málaga y la Facultad de Ciencias de la Educación que tendrá lugar los próximos días 16 y 17 de mayo en el Salón de Actos de dicha Facultad.
La conferencia inaugural es a cargo de D. Federico Mayor Zaragoza, Presidente de laFundación Cultura de Paz y ex-Director de la UNESCO
Teatro: Los Buenos Tratos
V Muestra de Teatro Los Buenos Tratos
Se celebra los días 7, 8 y 9 de mayo a las 12:00h en el Centro Cultural Provincial (CCP) de calle Ollerías, en Málaga capital. Punto culminante de la campaña "Los buenos tratos".
Estreno, el lunes 7 de mayo. No te lo pierdas.
mas info aqui: http://www.revistaelobservador.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1373
Se celebra los días 7, 8 y 9 de mayo a las 12:00h en el Centro Cultural Provincial (CCP) de calle Ollerías, en Málaga capital. Punto culminante de la campaña "Los buenos tratos".
Estreno, el lunes 7 de mayo. No te lo pierdas.
mas info aqui: http://www.revistaelobservador.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1373
MUJERES ESTERILIZADAS EN SECRETO
Información:
El país que esteriliza a sus mujeres en secreto (BBC Mundo): http://www.bbc.co.uk/mundo/movil/noticias/2012/04/120412_esterilizaciones_forzadas_uzbekistan_adz.shtml
Médicos en Uzbekistán dicen que el gobierno los obliga a esterilizar mujeres (PRI) (en inglés): http://www.theworld.org/2012/04/doctors-in-uzbekistan-say-government-forcibly-sterilizing-women/
Información:
El país que esteriliza a sus mujeres en secreto (BBC Mundo): http://www.bbc.co.uk/mundo/movil/noticias/2012/04/120412_esterilizaciones_forzadas_uzbekistan_adz.shtml
Médicos en Uzbekistán dicen que el gobierno los obliga a esterilizar mujeres (PRI) (en inglés): http://www.theworld.org/2012/04/doctors-in-uzbekistan-say-government-forcibly-sterilizing-women/
viernes, 9 de marzo de 2012
OPINION 5 FRANÇAIS B2-2
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ON A LES PROFESSEURS LES MÊMES
ATTENTES POUR LES FILLES ET LES GARÇONS DANS LE LYCÉE EN MATIÈRE
SCOLAIRE?
Traditionellement il y a
eu une division entre les étudiants feminins et masculins au moment
de choisir leurs études secondaires et plus tard les universitaires.
Les garçons sont plus attirés par la technologie et la science,
alors que les filles se sentent plus familiarisées avec les matières
et carrières de lettres. On peut donc nous demander s´il existe
encore des stéréotypes de genre en rapport au choix des études
dans les lycées d´aujour´hui.
Actuellement face à la
loi, en droits, filles et garçons sont totalement égaux: les
programmes de formation et toutes les matières sont identiques, les
classes deviennent mixtes et il n´y a pas de regroupement en sport,
informatique, couture comme avant.
Cependant, bien que le
nombre d´élèves feminins dans le baccalauréat scientique et
technologique ait augmenté dans les dernières années, on peut
observer que le nombre d´élèves masculins est encore plus élevé.
Il semble qu´ elles considèrent les sciences et la technologie
comme un domaine masculin. Tandis que tout ce qui
est lié à l´humain leur semble plus intéressant ( langues,
sciences humaines et sociales, administration économique et
sociale…..)
On
peut donc s´interroger sur le rôle de l´éducation publique.
Contribue-t-elle á renforcer cette division? Au contraire,
joue-t- elle un rôle décisif pour l´égalité dans le lycée? Je
suis tenté de dire que les profs ont les mêmes attentes pour les
élèves quelque soit leur sexe. On stimule, on
exige et on encourage de la même façon sans distinction de sexe. En
plus, l´enseignement public a réalisé un effort considérable pour
refuser des stéréotypes sexistes en incorporant des programmes de
coéducation afin de promouvoir l´égalité dans tous les aspects
éducatifs et accorder/ agréer les mêmes opportunités tant aux
filles qu´aux garçons.
Peut-être
les professeurs peuvent influencer leurs étudiants d´une manière
inconsciente en leur donnant des modèles qui affectent leurs
préférences professionelles et d´études, car il y a plus de
professeurs masculins liés au domaine scientifique.
Cependant,
d´un point de vue psychosociale, l´influence la plus forte sur le
développement du rôle de genre semble se produire dans le sein de
la famille et dans la société á cause des medias/, des parents
passant manifestement et secrètement à leurs enfants leurs propes
croyances, valeurs et comportements qu´ils imitent. C´est pour cela
que le traitement et la manière differente d´élever leurs enfants
par les parents sont deux facteurs fondamentaux qui jouent un rôle
décisif dans l´orientation scolaire et le choix des études de
leurs enfants dans l´avenir. Quand ils arrivent au lycée leur
mentalité est déjà presque faite et modelée.
On
peut conclure qu´il faut rechercher une mixité qui soit une
véritable coéducation qui signifie devenir conscients de l´égalité
des sexes dans tous les aspects de la vie, combattre des attidudes
sexistes et travailler ensemble avec les parents en refusant des
stéréotypes traditionels sur le rôle des filles et des garçons .
FRANCISCO
CASTRO- FRANÇAIS B2-2
OPINION 4 FRANÇAIS B2-2
Version:1.0
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LA
COÉDUCATION DÈS L’ENFANCE
L’enfant
à sa naissance, est un être indifférent, sans identité
personnelle, mais grâce à son environnement, il obtiendra son
identité.
Tout
d’abord les parents sont les premiers acteurs de la coéducation,
devant supprimer toute différence dans l’éducation des enfants,
évitant une éducation sexuée afin que celle-ci ne mette pas les
garçons et les filles dans des rôles distincts.
Mais
malheureusement on leur apprend encore des modèles de comportement
liés à leur sexe : en ce qui concerne les récriminations
(« les garçons ne pleurent pas. »), les jouets (« les
garçons ne jouent pas à la poupée, c’est pour les filles »),
pour beaucoup il est mal vu que le garçon développe la tendresse
pensant que, avec ces jeux, le garçon puisse perdre sa propre
masculinité.
Les
parents agissent d’une façon différente selon si il s’agit
d’une fille ou d’un garçon. Cela se manifeste simplement dans
les jouets : pour le sexe féminin, nous achetons les jouets
genre tâche domestique, dînettes, poupées, tandis que les jeux de
constructions, les voitures visent les garçons, bref les stéréotypes
sont quasi toujours présents.
Comme
on peut voir, dès leur plus jeune âge, tout se joue et les enfants
sont conditionnés dans leur rôle.
Les
jouets, dont le rôle est primordial, est souvent attaché dans une
sexualisation traditionnelle qui est, de nos jours non adapté à la
société.
Beaucoup
de parents, même si leurs garçons leur demandent une poupée, sont
très sceptiques et ne voient pas d’un bon œil leur en acheter
une, comme si leur virilité était en jeu (virilité pour beaucoup
est synonyme de jouets de vitesse, de dureté…) , comme si « jouer
à la poupée » voulait dire obligatoirement le désir d’être
une fille. Donc les parents s’inquiètent, se posent des questions
(dans certains cas, veulent même l’emmener chez le psychologue ou
se demandent où ils ont commis une erreur).
Mais,
en revanche, quand il s’agit du contraire, une fille qui veut des
voitures ou jouer au football, il n’y a aucun problème de ce
côté-là.
En
outre, on a beau parler d’égalité mais certains sont encore très
attachés à leurs idées, ce qui est assez ironique puisque nous
sommes à une époque où les pères sont de plus en plus impliqués
dans l’éducation des enfants, par contre voir un petit garçon
vouloir un poupon et une poussette, vouloir lui changer les couches
nous choque énormément.
Et le
plus malheureux c’est le sentiment de frustration que les parents
peuvent générer chez l’enfant en lui faisant des remarques du
genre « c’est pour les filles » car inconsciemment (ou
consciemment) nous créons un fossé entre les deux sexes, quand
réellement il est important de laisser les garçons manifester leur
créativité et leur sensibilité.
De
plus, empêcher ou même interdire à un garçon de jouer à la
poupée peut le mener à un questionnement, voire un trouble « est-il
nécessaire que je sois une fille pour avoir le droit de jouer avec
une poupée ».
À la
maternelle, les enfants construisent aussi leur identité en tant que
filles et garçons et c’est aussi un bon moment pour leur faire
comprendre le message crucial, que les deux sexes ont la même valeur
dans la société.
En
maternelle, les coins cuisines et repassages, voire même les coins
poupées sont fréquentés par les garçons mais avec, souvent, une
certaine honte et pudeur d’être vu par les copains car ceux-ci ont
déjà stéréotyper les jeux (en effet, influencés par leur
famille).
Mais
les enseignants instaurent justement un système de tournante des
différents espaces de jeux (un tableau est conçu pour inscrire les
enfants et les espaces de jeux auxquels il a joué pendant la
première semaine ; ainsi la deuxième semaine il doit jouer
dans les espaces dans lesquels il n’a pas encore été).
De
plus, les enseignants, d’une façon subtile, appellent les zones
« voitures », zones « transports » et les
zones « poupées et appareils domestiques » les zones
« hôpitaux » afin que les enfants qui ont déjà
stéréotypés les jouets ne se sentent pas trop intimidés.
D’autre
part, les enseignants conditionnent des zones « nursery »
mixtes : pendant une semaine filles et garçons doivent
s’occuper d’un poupon comme d’un vrai bébé (dispenser tous
les soins nécessaires, les dorloter, les soigner, ce qui permet de
responsabiliser les plus petits et aussi une façon de faire évoluer
les mentalités).
Il
n’empêche que, malheureusement encore, un garçon peut être
« tacher » de « pédé » d’une façon
péjorative et grotesque juste parce qu’il joue avec les filles et
passe beaucoup de temps justement dans les zones « hôpitaux ».
Quand réellement il est tellement important que les enfants se
développent librement en découvrant d’autres activités et qu’ils
puissent réaliser leur potentiel individuel.
En
conclusion, il est essentiel de construire, dès l’enfance, une
égalité des sexes, car réellement la parité commence dès le
berceau, en offrant les mêmes possibilités de jeux aux garçons et
aux filles, leur donnant un vrai choix de jouets égalitaires afin de
leur montrer la diversité de la vie, leur donnant la possibilité de
vivre les mêmes choses..
Il est
vrai que les écoles dès le plus jeune âge instaure cette
coéducation, mais il est nécessaire que celle-ci soit faite aussi
dans le noyau familiale (car celui-ci est vraiment le stimulateur
d’apprentissage dès le plus jeune âge), c’est pour cette raison
que l’intervention éducative doit être aussi orientée non
seulement aux élèves, mais aussi à son entourage le plus proche,
c'est-à-dire la famille, sa collaboration et implication sont
nécessaires.
Les
parents ne doivent pas véhiculer des stéréotypes sexistes dans les
jouets (la cuisinette et l’aspirateur pour les filles, les
voitures et parking pour les garçons) car il s’agit d’une
croyance qui, le plus souvent, a une certaine prédisposition à
enfermer chaque sexe dans des schémas restreints souvent négatifs,
et maintes fois, inconsciemment, ils reproduisent le modèle
socioculturel des générations précédentes. Il est nécessaire de
comprendre que nous sommes dans d’autres temps, donc d’autres
mœurs.
Isabelle Fernández- FRANÇAS B2-2
OPINION 3 FRANÇAIS B2-2
Version:1.0
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EndHTML:0000003705
StartFragment:0000000454
EndFragment:0000003689
LA
COÉDUCATION ET L’ÉDUCATION PHYSIQUE
Malgré
les avantages que l’éducation physique a dans l’enseignement, il
faut faire beaucoup d’attention aux prejugés sexistes. Moi, commme
professeur de l’éducation physique de l’école secondaire, je
vais parler de mon expérience aux lycées et de l’enseignement de
garçons et filles.
D’abord,
la première chose qu’il faut faire afin de lutter contre les
prejugés sexistes et contre l’inégalité est ne pas parler des
différences de genre humain. Dès l’école, on doit considérer
comme quelque chose normale que les parents cuisinent, qu’ils font
le ménage, soit le père ou la mère.
Nous,
les professeurs, au moins, les professeurs avec lequels j’ai
travaillé, ne parlons jamais de leurs résultats en faisant la
comparaison entre les garçons et les filles. Il y aura certaines
fois où les filles auront meilleurs résultats que les garçons et
il y en aura d’autres oú les garçons auront meilleurs résultats
que les filles.
À
l’Éducation Physique, ça arrive beaucoup de fois. Quand j’ai
commencé à travailler aux lycées et je demandais quelque chose à
faire, mes élèves me demandaient: “Et les filles?” si
l’activité était considerée masculine ou, pour contre, ils
demandaient: “Et les garçons?” si l’activité était
considerée féminine. Je disait que tout le monde devais
faire la même chose parce que l’Éducation Physique est la même
pour tous les élèves.
C’est
vrai qu’en Éducation Physique il y a des contenus que les filles
préfèrent et il y en a d’autres que les garçons préfèrent.
“C’est vrai, c’est normal et je suis
d’accord”, je leur dit. Et je continue: “Mais il y a des
contenus que vous n’avez jamais travaillés et vous ne savez pas si
vous les aimez ou pas. Et ça, c’est l’objectif de l’Éducation
Physique: connaître beacoup d’activités et de modalités
sportives afin de pouvoir choisir ceux que vous préférez”.
Finalement, ils l’acceptent, je ne sais pas s’ils le comprennent
ou pas mais les élèves qui connaissent ma manière de travailler,
ils ne me demandent pas déjà pourquoi une chose ou une autre.
Bref,
il considèrent que je traite tous les élèves de la même manière
et c’est le plus juste. Filles et garçon travaillent déjà les
mèmes contenus et ils le voient comme quelque chose normale.
Angel
Cosano. Français B2-2
OPINION 2 FRANÇAIS B2-2
Version:1.0
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LA
COÉDUCATION! QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE?
Premièrement,
il faudrait analyser le terme plus ancien oú la coéducation veut
dire “l’éducation
en común des garçons et des filles, dans des groupes mixtes”.
Cependant,
cette conception exclue le traitement identique et implique une
collaboration que permette à chaque sexe d’exercer librement sur
l’autre une influence bienfaisant.
Deuxièmement,
c’est la coéducation “glabale” cette que préfère
l’expérience collective par le groupe pour arriver au même
résultat.
C’est
le dynamisme du groupe ce qui permet à Chacón de faire
l’apprentissage de la société et la redécouverte des savoirs en
fonction des projets qui émergent de ce groupe.
Finalement,
il faudrait rémarquer que la coéducation valorise la spontaneité,
la créativité, l’autonomie et l’individualisme.
En
conclusión, la
coéducation rejette l’autorité et les normes, puisque l’important
n’est pas réussir mais se réaliser. Cependant il faudrait
analyser aussi que même si la coéducation a influencié la
pédagogie en Espagne, le
développement du sindrome
de “l’enfant-roi”,
faisant des adultes
égocentriques et
paresseux
est un sujet à analyser dans la société d’aujourd’hui.
Maribel
Giráldez.
Français
B2-2
OPINION 1 FRANÇAIS B2-2
Version:1.0
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La
co–éducation: Est-elle réelle ou imaginaire ?
Pour
commencer à parler sur la co-éducation, il est nécessaire
d’éclaircir la terminologie. La co-éducation n’est pas la même
chose que l’école mixte, malgré que, généralement, elles ont
été confondues. L’école mixte parle d’une école où garçons
et filles sont ensemble dans une même salle de classe, mais avec un
curriculum encore clairement machiste, sans réviser.
Par
contre, la co-éducation parle de égalité, et c’est pourquoi que
redéfinit ce curriculum, l’adapte aux nouveaux temps et le
considère égal pour des garçons et des filles, un même
curriculum, les mêmes espaces, les mêmes professeurs et les mêmes
matériels pour tous et toutes, sans différences.
Notre Constitution, dans l’article
numéro 27, reconnaît le droit de tous les citoyens et citoyennes
d’Espagne à la éducation. En plus, l’article 14 dit que tous
sommes égaux devant la loi, sans qu’ait discrimination à cause de
la naissance, la race, le sexe, la religion, l’opinion et des
autres circonstances.
La loi générale d’éducation de
1970 était la première en essayer une éducation mixte, après tous
les années de séparation sexiste dans la dictature. Cependant,
n’était pas jusqu'à la Logse (en 1990) que la co-éducation
devenait le principale modèle de pensée de notre système éducatif.
Ainsi donc, la partie théorique est
obtenue. Mais, avons nous réussi dans la partie pratique ?
En
ce qui me concerne, comme professeur, je crois que pour nous, dans
l’école, tous nos élèves sont égaux, n’importe qu’ils
soient garçons ou filles. Nous leur enseignons de la même manière,
nous leur parlons de la même manière et nous ne faisons pas de
différences entre eux. Par contre, tandis que dans l’école il y a
une égalité réelle, qu’est-ce qui se passe dans les entreprises,
dans la politique, et dans tous les travaux de haut niveau, chefs et
directeurs ?
Malheureusement,
la réalité est que les travaux de haute importance sont encore
occupés par des hommes, spécialement dans les entreprises privées.
De plus, quelques fois, les salaires ne sont pas égaux non plus, et
nous ne devons pas le permettre.
Néanmoins je considère important
reconnaître qu’il y a de plus en plus femmes dans la politique et
dans les postes directifs des entreprises, mais il n’y a pas
beaucoup de femmes comme chefs d’entreprises ou comme présidentes
des gouvernements (avec la exception de Angela Merkel ou Cristina
Fernández de Kirchner).
C’est évident qu’il s’agit d’un
sujet très actuel et très polémique mais, compte tenu les efforts
réalisés pour arriver à une co-éducation, la démonstration de
l’égalité de la capacité des hommes et des femmes pour réaliser
les mêmes travaux d’importance et les temps que nous vivons, je
pense que serait juste réfléchir sur ce discrimination et, même,
faire des lois qui contrôlent la quantité de femmes et d’hommes
dans ces travaux, parce que c’est la loi qui dit que tous nous
sommes égaux.
Lara
Llamas Briongos
Français
– 2º B2
OPINION B2-2 FRANÇAIS
Version:1.0
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EndFragment:0000004242
LA
COÉDUCATION
La
coéducation est l´instruction et l´éducation en commun des
garçons et des filles dans des groupes mixtes, mais cette conception
exclue le traitement identique et implique une collaboration qui
permette à chaque sexe d´exercer librement sur l´autre une
influence salutaire.
La
coéducation valorise la spontanéité, la créativité, l´autonomie,
l´individualisme. Elle ne valorise pas non plus outre mesure la
performance et donc le principe de classement et de notation puisque
l´important n´est pas de réussir mais de se réaliser.
Sur
le papier toutes ces idées sont formidables, mais ce qui nous
intéresse c´est savoir si la réalité s´y conforme.
À
mon avis, il y a eu un grand changement depuis quelques années dans
notre pays. Je suis élevée dans une école religieux où on
n´étudiaient que des filles. On a appris certaines valeurs, et on a
aussi touché quelques champs qui auparavant n´appartenaient qu´aux
filles, je fais référence aux labeurs domestiques.
Aujourd´hui
tout cela a énormément changé ; les garçons cousent et les
filles apprennent des métiers comme celle-ci de plombier ou de
charpentier, je trouve tout cela très pratique, il est bien de
savoir se débrouiller tout seul dans la vie, il ne faut pas se
marier pour qu´une femme couse quelqu´un l´ourlet, ou un homme
répare un robinet.
À
mon école de langue, dont je fais partie en tant qu´élève, comme
dans mon travail, je remarque qu´il y a une véritable égalité, et
on donne la chance tant les hommes que les femmes, je constate que
les professeurs ils ne font pas de distinction entre les deux sexes,
et la direction à mon travail est pareille, ce qu´on ne pouvait
dire il y a quelques années, il y avait un chef qui était misogyne,
qui faisait le travail aux femmes presque insupportable.
Heureusement, grâce à une femme courageuse il a été licencié.
Pitoyablement,
la coéducation n´est pas une réalité dans tout le monde où on
peut toujours trouver de la discrimination et le mépris envers les
femmes.
Pour
celles-ci qui souffrent d´une manière exceptionnelle je voudrais
leur dédier cette chanson de Pierrot : « LA FEMME
GRILLAGÉE »
Nieves
Iraundegui- FRANÇAIS B2-2
martes, 6 de marzo de 2012
Journée internationale de la femme :
apprenez l'histoire de cette journee avec ce petit quizz... cliquez ici
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EXPOSICION "MUJERES CON LUZ PROPIA"
Os informamos de que el
próximo día 7 de marzo, a las 12:00h el Instituto Andaluz de la Mujer,
inaugura la Exposición “Mujeres con
Luz Propia” con motivo del Día Internacional de la Mujer. 8 de marzo de 2012.
Lugar: Sede de la E.P Gestión del
Turismo y del Deporte de Andalucía, S.A (C/Compañía, 40 Málaga) Del 7 al 17
de Marzo.
sábado, 18 de febrero de 2012
UNICEF: Girls around the world talk about their lives and their rights
Natalia Gil, student of the 5th year of English B2-2 wrote:
I happened to view this video from Unicef and I thought that maybe it would be interesting for the "Coeducation blog". It is not about violence gender but more about "equality gender" and the way women and girls see themselves nowadays.
This video was done by UNICEF who travelled around the world asking women and girls a question: "What's it like to be a woman or girl today?". The good thing is (in my opinion) is that you have very different answers, depending on the country, background of the people answering etc....It is quite a short video (only 3 minutes) but it gives you several points of view !
Here is the link:
viernes, 3 de febrero de 2012
Cartel ganador
Cartel ganador del concurso de carteles contra la violencia de género de la EOI Fuengirola.
"¿En qué idioma hay que decirlo?"
Autoras: Paula Laserna y Pilar Oreja (4º Francés)
domingo, 8 de enero de 2012
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