viernes, 9 de marzo de 2012

OPINION 1 FRANÇAIS B2-2

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La co–éducation: Est-elle réelle ou imaginaire ?

Pour commencer à parler sur la co-éducation, il est nécessaire d’éclaircir la terminologie. La co-éducation n’est pas la même chose que l’école mixte, malgré que, généralement, elles ont été confondues. L’école mixte parle d’une école où garçons et filles sont ensemble dans une même salle de classe, mais avec un curriculum encore clairement machiste, sans réviser.

Par contre, la co-éducation parle de égalité, et c’est pourquoi que redéfinit ce curriculum, l’adapte aux nouveaux temps et le considère égal pour des garçons et des filles, un même curriculum, les mêmes espaces, les mêmes professeurs et les mêmes matériels pour tous et toutes, sans différences.

Notre Constitution, dans l’article numéro 27, reconnaît le droit de tous les citoyens et citoyennes d’Espagne à la éducation. En plus, l’article 14 dit que tous sommes égaux devant la loi, sans qu’ait discrimination à cause de la naissance, la race, le sexe, la religion, l’opinion et des autres circonstances.

La loi générale d’éducation de 1970 était la première en essayer une éducation mixte, après tous les années de séparation sexiste dans la dictature. Cependant, n’était pas jusqu'à la Logse (en 1990) que la co-éducation devenait le principale modèle de pensée de notre système éducatif.
Ainsi donc, la partie théorique est obtenue. Mais, avons nous réussi dans la partie pratique ?

En ce qui me concerne, comme professeur, je crois que pour nous, dans l’école, tous nos élèves sont égaux, n’importe qu’ils soient garçons ou filles. Nous leur enseignons de la même manière, nous leur parlons de la même manière et nous ne faisons pas de différences entre eux. Par contre, tandis que dans l’école il y a une égalité réelle, qu’est-ce qui se passe dans les entreprises, dans la politique, et dans tous les travaux de haut niveau, chefs et directeurs ?

Malheureusement, la réalité est que les travaux de haute importance sont encore occupés par des hommes, spécialement dans les entreprises privées. De plus, quelques fois, les salaires ne sont pas égaux non plus, et nous ne devons pas le permettre.
Néanmoins je considère important reconnaître qu’il y a de plus en plus femmes dans la politique et dans les postes directifs des entreprises, mais il n’y a pas beaucoup de femmes comme chefs d’entreprises ou comme présidentes des gouvernements (avec la exception de Angela Merkel ou Cristina Fernández de Kirchner).

C’est évident qu’il s’agit d’un sujet très actuel et très polémique mais, compte tenu les efforts réalisés pour arriver à une co-éducation, la démonstration de l’égalité de la capacité des hommes et des femmes pour réaliser les mêmes travaux d’importance et les temps que nous vivons, je pense que serait juste réfléchir sur ce discrimination et, même, faire des lois qui contrôlent la quantité de femmes et d’hommes dans ces travaux, parce que c’est la loi qui dit que tous nous sommes égaux.

Lara Llamas Briongos
Français – 2º B2

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